Derrière le rideau, tome 1: Simone Signoret et Yves Montand de Xavier Bétaucourt

Hello, j’espère que vous allez bien ! Aujourd’hui, je vous parle de la bande-dessinée « Derrière le rideau, tome 1: Simone Signoret et Yves Montand » de Xavier Bétaucourt.

Quatrième de couverture

En 1952, Simone Signoret et Yves Montand se rencontrent à Saint-Paul-de-Vence. C’est le coup de foudre immédiat. Entre eux, une histoire d’amour est née, mais pas seulement. Séparément, ils sont des stars, ensemble, ils deviennent une conscience politique. En 1956, le couple est au sommet de sa gloire. Ils ont, comme beaucoup d’intellectuels de l’époque, le communisme chevillé au coeur. Une tournée de gala est organisée dans les pays du bloc soviétique, mais l’histoire les rattrape : les chars soviétiques répriment dans le sang une insurrection à Budapest. La tournée est, malgré tout, maintenue. Et si le couple trinque au Kremlin avec Khrouchtchev, la désillusion n’est pas moins énorme.

Mon avis

1956. Les troupes russes envahissent Budapest après des manifestations pacifiques réclament plus de libertés politiques. Simone Signoret et Yves Montand prennent partis en faveur des communistes. Contre l’avis de tous, Yves démarre une tournée dans les Pays de l’Est dont la Russie. Cette tournée permettra de prendre conscience du communisme politique.

J’ai beaucoup aimé cette bande-dessinée biographique qui nous raconte l’histoire de Simone Signoret et d’Yves Montand. J’ai également bien aimé que l’histoire ne soit pas embellie et reste fidèle à l’histoire. On retrouve notamment, Yves qui refuse d’aider une personne à fuir la Russie, etc. « Derrière le rideau » nous montre l’engagement politique de Simone Signoret et d’Yves Montand ainsi que leurs envies de défendre leurs idées (via l’art, notamment) coûte que coûte.

Moi, j’ai préféré venir les voir, leur parler, les écouter et leur chanter mes chansons. Bien que les espoirs de leur octobre aient sombré, avec moi, ils ont pendant deux heures, retrouvé le cœur à rire parce que je fais mon métier qui est de distraire les gens.

Au niveau de l’Histoire, j’ai beaucoup aimé avoir les passages qui permettent de se repositionner dans le temps et (re)découvrir le contexte historique avec quelques explications.

Les illustrations sont en noir et blanc et illustre très bien l’histoire qui est racontée autour.
J’ai beaucoup aimé la présentation originale de certaines planches.

Je tiens à remercier les éditions Steinkis et Babelio pour l’envoi de cette BD dans la cadre d’une masse crique privilégiée.

Et vous, qu’en avez-vous pensé ?

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